La journée du poisson - faire la nageoire avec le poisson et apprendre à mieux le connaître

La Journée du poisson est l'occasion idéale de mieux connaître ces animaux. Au XXIe siècle, certaines personnes continuent de croire que ces créatures n'ont pas de voix, sont muettes, ne ressentent pas la douleur et que leur présence dans l'assiette ne signifie que... des os et du mercure.

En réalité, elles n'ont pas 5 octaves comme Mariah Carey et ne peuvent pas résoudre une équation différentielle, mais elles peuvent émettre des sons lorsqu'elles ressentent de la douleur, se souviennent des endroits où le danger les guette et savent comment utiliser une pierre pour construire un nid. Et elles ne sont pas toutes chargées à bloc de mercure, mais de précieux acides gras oméga-3.

Ne soyez pas une brème. Apprenez à connaître les poissons, les faits et les mythes qui les entourent et pourquoi vous devez être un consommateur de poisson averti.

La meilleure façon de manger du poisson

Voir aussi :

• Journée mondiale sans tabac
• Journée de l'air pur
• Le gaspillage alimentaire en Pologne et dans le monde
• La santé pulmonaire après la pandémie
• Journée nationale des jardins d'enfants
• Journée du don de moelle
• Journée de la grande abeille
• Journée du don de sang
• Journée des câlins
• Les célibataires à la Saint-Valentin

Journée du poisson - de quel type de fête s'agit-il ?

La Journée du poisson a lieu le 20 décembre et est célébrée depuis 2003 grâce à une initiative de l'Association Empathy et de la Fondation Viva!i. L'idée sous-jacente est de promouvoir l'éducation sur les poissons qui, contrairement aux mythes, ressentent la douleur. L'idée derrière cette journée est de promouvoir l'éducation sur les poissons, qui, contrairement aux mythes, ressentent la douleur et méritent d'être traités humainement. La Journée du poisson vise également à inspirer des actions liées à la conservation des poissons et de l'écosystème aquatique.

Les créateurs de la Journée du poisson attirent particulièrement l'attention sur le drame annuel de la carpe, qui est un plat traditionnel du réveillon de Noël en Pologne. La date de célébration de cette journée autour de Noël a pour but d'inciter les gens à réfléchir au traitement inhumain des carpes vivantes dans les points de vente et à envisager d'adopter un régime alimentaire à base de plantes.

Cette journée est également une excellente occasion de sensibiliser les gens à l'achat et à la consommation responsables de poisson, de dissiper les mythes et d'examiner les statistiques relatives à la consommation de poisson en Pologne et dans le monde.

Que diriez-vous de renoncer à la carpe pour le réveillon de Noël cette année au profit... du tofu ? Et d'entamer unepetite conversation dans l'ascenseur avec un fait intéressant sur le plus gros poisson du monde (cette option peut être maladroite, mais essayez) ?

Quelle quantité de poisson les Polonais mangent-ils ?

La réponse courte est : pas assez.

Le poisson, en particulier les poissons gras, est un trésor de nutriments et la meilleure source d'acides gras oméga-3: DHA et EPA. Les recommandations officielles sont de consommer 1 à 2 portions de poisson (environ 300 g) par semaine. En théorie, chaque Polonais devrait donc terminer l'année avec 15,6 kg de poisson consommé.

Selon les données de la FAO (Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture) pour 2020, un Polonais moyen mange 12,27 kg de poisson par an. À titre de comparaison, le record du monde est détenu par les Maldives, où, pour la même période, les citoyens mangent... 87,30 kg.

En Europe, le Portugal est roi, avec une consommation de poisson de 59,36 kg par citoyen et par an. Les Européens mangent en moyenne 21 kg de poisson, alors que la moyenne mondiale est d'environ 20 kg. Consultez le tableau ci-dessous pour savoir qui mange le plus de poisson par an sur le vieux continent.

Les 10 pays qui consomment le plus de poisson en Europe

Je sais, je sais - il est difficile pour nous d'atteindre de telles quantités. Nous n'avons pas la culture de manger du poisson en Pologne et leurs prix peuvent être décourageants. On pourrait se dire : ce n'est pas étonnant, les Scandinaves ou les Ibériques ont le poisson sous le nez, ce qui se traduit par une disponibilité et un prix - et on aurait raison. Cependant, les statistiques montrent que les Polonais mangent également de plus en plus de poisson !

Selon l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), les prévisions indiquent que la consommation mondiale de poisson augmentera de 14,8 % en 2030. Les Polonais sont sur la bonne voie : en 2015, nous ne mangions que 10 kg, contre 12,27 kg aujourd'hui.

Quels sont les poissons les plus populaires en Pologne ?

Là encore, la réponse est courte : les bons, mais pas toujours les bons.

Selon les données de l'Institut de l'économie agricole et alimentaire, les poissons préférés des Polonais et la consommation annuelle moyenne par personne sont les suivants:

• hareng - 2,73 kg
• colin - 2,04 kg
• maquereau - 1,16 kg
• saumon - 1,01 kg
• sprat - 1,09 kg
• thon - 0,98 kg
• morue - 0,96 kg

Malheureusement, les Polonais consomment également beaucoup de poisson transformé en conserve ou fumé, ainsi que... des bâtonnets de poisson. Il ne s'agit pourtant pas de choix sains.

Les bâtonnets de poisson enrobés de pâte à frire sont pauvres sur le plan nutritionnel, contiennent des additifs inutiles et, parfois, l'enrobage est disproportionnellement plus lourd que le poisson - les fabricants savent comment économiser de l'argent dans le processus de production.

Pourquoi les Polonais n'achètent-ils pas de poisson ?

J'en mangerais bien, mais j'ai peur. J'ai... un piranha dans ma poche. Je préfère la côtelette de porc.

Les Polonais ne mangent pas de poisson pour de nombreuses raisons.

La plus fréquemment citée est le prix :

• Alors que le poisson en conserve est raisonnablement bon marché (mais pas très sain) et que pour une boîte de 200 à 300 g vous payez environ 6 à 14 PLN, pour un flocon de 100 g de saumon norvégien, vous devez donner jusqu'à 13 PLN. Les calculs sont simples.
• Le diable dupoisson est dans les détails - oui, il existe des poissons extrêmement riches en mercure ou en plomb, et manger du poisson en conserve une fois par jour n'est pas bon pour la santé.
• Les os - Je sais ce que c'est qu'un petit os malicieux peut gâcher un repas. Parfois, il est même dangereux pour la vie et la santé.
• Unproduit périmé - L'odeur d'un poisson périmé peut encore vous hanter des heures après que vous l'avez jeté. Les Polonais ne savent pas toujours comment juger de la fraîcheur d'un produit et comment le conserver.
• Selon les données de la FAO pour 2020, les Polonais ont mangé 88,71 kg deviande (volaille, bœuf, porc, viande de cheval, viande de tous les autres animaux domestiques ou sauvages comme les chameaux, les lapins, les rennes et le gibier)i.
• Manque d'idées pour cuisiner le poisson : il est beaucoup plus facile de faire frire une escalope ou de la viande pour des pâtes que de trouver une recette savoureuse à base de poisson. De plus, le poisson n'a pas la même saveur que la viande avec autant d'additifs ou d'assaisonnements. Et parfois, toute la famille a l'impression qu'il y aura du poisson au dîner.

Comment augmenter la quantité de poisson dans votre alimentation ? Des conseils qui ont fait leurs preuves

Nous nous sommes plaints, voyons maintenant les contre-arguments aux raisons ci-dessus de ne pas manger de poisson :

• Le prix. Profitez des réductions de prix et des offres 2+1, et congelez le poisson frais que vous achetez. J'ai remarqué que les promotions sur le poisson dans les magasins discount populaires sont cycliques.
• Choisissez des poissons à faible teneur en mercure (voir mon classement) et provenant de sources propres, légales et certifiées.
• Arêtes - Il vaut la peine de savoir quels poissons ont beaucoup d'arêtes et de les manger lentement, avec attention, en savourant le repas. Vous pouvez apprendre à découper les filets avec habileté grâce aux nombreuses vidéos disponibles en ligne.
• Produits non frais - Apprenez à reconnaître le poisson frais. Il a des pigments brillants, une peau luisante, peu de mucus, des yeux convexes, non voilés et brillants, une chair ferme, des branchies rouge vif, pas d'odeur. Un poisson recouvert d'une épaisse couche de glace inégale a probablement déjà été décongelé et recongelé.
• Un autre type de viande - Essayez de remplacer au moins un repas par semaine par du poisson, par exemple à la place d'une salade de poulet ou de côtelettes émincées. Faites plaisir à votre palais et offrez-lui de nouvelles saveurs.
• Si vous ne trouvez pasde meilleure façon de préparer le poisson , vous l'aimerez en salade, en pâtisserie, en tortilla, en ragoût ou en soupe. Cherchez l'inspiration dans les recettes.

Comment minimiser l'odeur du poisson lors de sa préparation ?

La nutritionniste conseille :

Ajoutez du romarin ou du thym frais à la graisse dans laquelle vous faites frire le poisson, et ajoutez du beurre aux herbes à la fin de la friture, après avoir vidé la graisse. Vous pouvez également placer un bol de vinaigre blanc ou de vinaigre de vin à côté de la poêle pendant la cuisson.

Allumez une bougie parfumée ou faites bouillir de l'eau avec de la cannelle, du clou de girofle, de la cardamome ou du gingembre dans une casserole. Après avoir mangé le poisson, versez de l'eau chaude sur la vaisselle (casseroles, assiettes). Jetez les restes de poisson dans une poubelle refermable. Si vous souhaitez conserver le poisson au réfrigérateur, placez-le dans un sac à ficelle ou un récipient muni d'un couvercle.

Si vous disposez d'une petite cuisine ou d'une kitchenette, utilisez un ventilateur ordinaire - celui que l'on sort en été lorsqu'il fait chaud. Le ventilateur brassera l'air", ajoute la nutritionniste.

Les poissons n'ont pas de voix et autres mythes sur les poissons

Ah, ces dictons - répétés tant de fois qu'ils en deviennent vrais. C'est ainsi que l'on prive les poissons de leur voix, de leurs sentiments et que l'on se moque de leur... mémoire courte.

Il est temps de dissiper ces mythes, car si vous y croyez, les poissons se moquent de vous. Et vous le rappelleront dans quelques années.

Faits intéressants sur le poisson

• Le plus grand poisson du monde est le requin-baleine. Il atteint jusqu'à 18 mètres de long et pèse plus de 15 tonnes.
• L'espadon peut nager à une vitesse allant jusqu'à 65 km/h.
• Les anguilles électriques peuvent produire un champ électrique si puissant qu'elles sont capables de tuer un être humain.
• On estime qu'au moins 5 000 espèces de poissons restent à découvrir.
• Les poissons peuvent goûter leur nourriture grâce à des papilles gustatives situées sur leur corps.
• Le saumon peut parcourir jusqu'à 50 km par jour.
• Une portion de 61 grammes de saumon couvre les besoins hebdomadaires de 250 mg d'acides gras oméga-3.
• La plupart des poissons n'ont pas de paupières ; seul le requin peut cligner des yeux.
• L'expression "en bonne santé comme un poisson" n'a pas grand-chose à voir avec la réalité. Les poissons souffrent de toute une série de maladies et de parasites.

Les poissons les plus sains - classement

Le poisson qui se trouve dans votre assiette doit être :

• pauvre en contaminants,
• d'origine sauvage,
• riche en acides gras oméga-3
• riche en vitamines et minéraux.

Quels sont les poissons qui répondent à ces critères ?

Le saumon

Rose, scintillant et, dans les publicités, généralement enlacé par un beau Norvégien. Le classement des poissons les plus sains s'ouvre fièrement sur le saumon.

C'est une excellente source d'acides gras oméga-3 et oméga-6, de vitamine A, de vitamine D, d'iode et de sélénium. Le saumon est également une excellente source de protéines - dans 100 g, vous trouverez jusqu'à 20 g de protéines facilement digestibles. La valeur calorique de ce poisson dépend de son origine et de sa forme (frais, fumé), et se situe en moyenne autour de 200 kcal pour 100 g.

Quel saumon acheter ? Préférez le saumon sauvage frais au saumon d'élevage d'origine inconnue. Le saumon sauvage est appelé "Pacifique" ou "Alaska". Les noms "Atlantique", "Norvégien" ou "Jurassique" apparaissent sur les produits à base de saumon d'élevage.

Faites attention aux certifications : elles constituent un indice précieux. Le symbole vert ASC indique que les produits à base de saumon proviennent d'élevages responsables, légaux et biologiques. Le logo bleu du MSC indique qu'il s'agit de saumon sauvage.

Le maquereau

C'est l'un des poissons les plus consommés en Pologne. Il est riche en acides gras oméga-3 - dans 100 g, il contient environ 3 000 à 4 000 mg de graisses saines (en fonction de la source et de la forme). C'est également une excellente source de sélénium, de phosphore, de potassium, de vitamines A et D et de vitamine B12. Il constitue un excellent complément protéique (environ 18 g de protéines pour 100 g) et est rassasiant.

Le maquereau est un trésor de sélénium. Le poisson frais contient 44,1 µg de sélénium par 100 g, ce qui couvre jusqu'à 80 % des besoins quotidiens en sélénium. Le sélénium joue un rôle important dans la production d'hormones thyroïdiennes.

Ce poisson contient de grandes quantités de phosphatidylsérine. Il s'agit d'un composé organique reconnu comme nootropique, c'est-à-dire ayant un effet positif sur les fonctions cérébrales, les fonctions cognitives et la mémoire.

Les Polonais adorent le maquereau, mais ils préfèrent souvent le manger fumé plutôt que frais. Malheureusement, cette forme, bien que délicieuse, n'est pas un choix sain.

Le cabillaud

Maigre et peu calorique (environ 85 kcal/100 g), ce poisson contient de précieux acides gras oméga-3 et oméga-6. Il vous apportera également des vitamines B: B12, B6, niacine, ainsi que des vitamines E, A et C. C'est également une bonne source de phosphore, de potassium, de sélénium et d'autres micronutriments.

Il est intéressant de noter que les poissons maigres comme la morue "absorbent" moins de métaux lourds que les poissons gras .v Outre la morue elle-même, seule l'huile qui en est dérivée - l'huile de foie de morue - est plus populaire.

Les sardines

Petites mais folles. Ce poisson discret est littéralement une "bombe de calcium" : dans 100 g, il contient jusqu'à 382 mg de ce minéral. On estime que de nombreux Polonais ne consomment pas assez de calcium. Ajouter des sardines au menu est donc un moyen naturel et savoureux de le compléter.

Ces poissons contiennent également des acides gras oméga sains et beaucoup de phosphore, de sélénium et de potassium. Les sardines sont une petite mais excellente source de protéines. Dans 100 g, vous consommerez environ 22 g de protéines. Les Polonais consomment surtout des sardines en boîte, ce qui rend le poisson entier (il contient des arêtes mais peut être mangé) et lui confère une plus grande valeur nutritionnelle.

Truite arc-en-ciel

La truite arc-en-ciel est le plus grand concurrent du saumon dans les réfrigérateurs des magasins. La truite est pauvre en sodium, ce qui en fait un choix sain pour les personnes souffrant de maladies cardiovasculaires.

Ce poisson contient 1 200 à 1 400 mg d'acides gras oméga-3 et constitue un excellent complément aux graisses saines dans l'alimentation. La truite est une source complète et digeste de protéines et de vitamines B, de vitamines A et D, ainsi que de phosphore, de potassium et de sélénium. Elle est relativement peu calorique, avec environ 160 kcal pour 100 g.

Le thon

Un excellent poisson dans l'alimentation, mais avec modération. Les Polonais choisissent volontiers le thon en boîte dans les rayons des magasins, car il est moins cher que le saumon, par exemple, et se conserve longtemps.

Le thon fournit beaucoup de vitamines B - thiamine (B1), niacine (B3) et pyridoxine (B6) - ainsi que du sélénium, du phosphore, du potassium et du magnésium.

Comme le thon se nourrit d'autres petits poissons qui peuvent déjà être contaminés par le mercure, le métal peut s'y accumuler et s'y concentrer, c'est pourquoi une consommation modérée est recommandée. Un adulte ne devrait pas consommer plus de 200 g de thon par semaine, tandis que les femmes enceintes et allaitantes devraient en consommer 100 g.

Le thon en conserve contient peu de mercure et constitue un choix relativement sûr.

Hareng

C'est l'invité le plus populaire dans les assiettes polonaises - en moyenne, nous mangeons 2,73 kg de hareng par an. La forme la plus saine est, bien sûr, le poisson frais, mais nous l'aimons dans la crème, sous un édredon avec du fromage, dans l'huile et, bien sûr, le hareng aime nager.

Si vous choisissez le hareng frais, vous vous procurerez le plus d'acides gras oméga-3, de vitamines A + E, B6, B12 et de cuivre, de zinc, d'iode et de phosphore.

À la table de Noël, choisissez du hareng qui ne baigne pas dans la graisse. Il peut aussi être savoureux et rassasiant. Essayez des versions plus légères - au yaourt ou à la sauce tomate et au curry. Et bien sûr, n'oubliez pas que vous ne pouvez pas manger sans pain. Avec du beurre.

Et où est la carpe ?

Nous avons un penchant pour la carpe. Il est difficile de rompre avec la tradition et de ne pas l'avoir sur la table du réveillon. Cependant, il ne s'agit pas d'un poisson riche en acides gras oméga-3 souhaitables. De plus, elle contient beaucoup d'arêtes et sa consommation est gênante.

Les élevages de carpes sont les plus controversés - malheureusement, certains d'entre eux ne se soucient pas de la qualité de leur nourriture ou du traitement humain. Les histoires de carpes sous antibiotiques ou stéroïdes, entassées dans des bassins et mangeant des excréments ne sont pas des légendes urbaines.

Choisissez donc des carpes provenant de sources fiables. Sur Internet, vous trouverez de nombreuses fermes qui se targuent d'avoir des certificats et qui se soucient de la qualité et des conditions de vie des carpes.

Qu'en est-il de la contamination du poisson ?

De nombreuses personnes ne mangent pas de poisson, par crainte d'une contamination par les métaux lourds. Est-ce vrai ? Oui, mais - note, ma préférée - cela dépend.

Certains poissons sont extrêmement riches en mercure ou en plomb, mais d'autres peuvent être consommés sans danger et de manière bénéfique. Il suffit d'être un consommateur averti et de savoir quel poisson et quelle quantité consommer chaque semaine.

L'Institut de la pêche maritime (MIR) a indiqué les espèces de poisson et les quantités qu'un adulte peut consommer par semaine afin de ne pas dépasser la dose temporaire tolérable de mercure et de dioxines.

Vous trouverez ci-dessous un exemple de poissons populaires dans le régime alimentaire des Polonais et leur dose hebdomadaire maximale de sécurité.

Que faire à la place du poisson pour la table de Noël ?

Il est peut-être temps d'innover. Surprenez-vous avec des versions végétales de plats populaires. Les légumes, le tofu ou les champignons ne seront pas fades si vous les assaisonnez et les cuisez bien.

Poisson à la grecque avec céleri-rave

Recette pour environ 10 portions.

Ingrédients - poisson végétal

• 1 kg de céleri
• 2 litres de bouillon de légumes
• 2 feuilles de nori + 5 feuilles pour envelopper les côtelettes
• 2 cuillères à soupe de sauce soja
• 4 feuilles de laurier
• 2 piments de la Jamaïque
• 1 cuillère à café de graines de coriandre
• sel et poivre noir
• pour la friture : lait végétal ou eau, farine de blé ou de riz et huile végétale

Ingrédients pour la partie "à la grecque" :

• 1 oignon
• 1 poireau, partie blanche et vert clair
• 500 g de carottes
• 150 g de persil
• 50 g de céleri
• 2 épices de toutes sortes
• 2 feuilles de laurier
• une pincée de piment
• huile végétale
• sel
• 1-2 tasses d'eau
• 3-4 cuillères à soupe de pâte de tomate
• sel et poivre noir

Préparation :

Végéter le "poisson" :

1. Éplucher le céleri-rave, le couper en deux et en tranches de 1 cm. Dans une grande casserole, porter le bouillon à ébullition avec 2 feuilles d'algue nori, les feuilles de laurier, le piment de la Jamaïque, la coriandre et la sauce soja. Ajouter les tranches de céleri au bouillon bouillant et les faire cuire jusqu'à ce qu'elles soient très molles, environ 15 à 20 minutes.
2. Retirer délicatement les tranches de céleri et les laisser refroidir un moment. Pendant ce temps, coupez les feuilles de nori en bandes plus étroites, puis préparez deux bols, versez un peu de lait dans l'un (pas plus de ⅓ de tasse) et versez de la farine dans l'autre (pas plus de ½ tasse).
3. Saupoudrez chaque tranche de céleri de sel et de poivre, enveloppez-les d'une bande de nori et laissez-les tremper dans le lait pendant un certain temps - cela permettra à l'algue de ramollir et de mieux adhérer au céleri. Tremper délicatement les tranches de céleri ainsi préparées dans la farine.
4. Dans une grande poêle à frire, faire chauffer fortement l'huile (1 à 2 cuillères à soupe) et y déposer les tranches de céleri ainsi préparées. Faire frire de chaque côté pendant environ 2 à 3 minutes.

Sauce :

1. Couper l'oignon en dés et le poireau en rondelles. Chauffer l'huile dans le fond d'une grande casserole et ajouter l'oignon avec le poireau, la feuille de laurier et le piment de la Jamaïque, faire revenir à feu doux jusqu'à ce qu'ils soient dorés.
2. Pendant ce temps, éplucher et râper les autres légumes, puis les ajouter à la casserole avec une pincée de sel et le piment. Faire revenir à feu doux dans une cuillère à soupe d'huile pendant 5 à 10 minutes, puis verser la moitié de la quantité d'eau de la recette et laisser mijoter pendant 5 minutes supplémentaires.
3. Enfin, verser le reste de l'eau, ajouter le concentré et une pincée de sel et de poivre. Laisser mijoter pendant 5 à 10 minutes supplémentaires jusqu'à ce que les légumes soient très tendres.
4. Lorsque la sauce aux légumes est prête, verser ⅓ de la sauce au fond d'un plat, placer les tranches de céleri-rave dessus, puis une couche de sauce, une autre couche de céleri-rave et une dernière couche de sauce. Laisser refroidir au réfrigérateur - c'est meilleur le deuxième jour, lorsque les saveurs se sont mélangées.

La même chose peut être faite avec la version au tofu, il suffit de remplacer le céleri-rave par du tofu et le schéma de préparation est exactement le même. En revanche, au lieu de 1 kg de céleri, il faut utiliser 600 g de tofu (couper chaque cube de tofu en 4 portions).

Pour 1 portion : 142,5 kcal, protéines 6,45 g, lipides 4,9 g, glucides 23,59 g

Dans la version avec tofu au lieu de céleri (12 portions) : Kcal 1929, protéines 126,5 g, lipides 85,9, glucides 173,3 g, fibres 36,6 g ; (1 portion) : 161 kcal, protéines 10,5 g, graisses 7,2 g, glucides 14,4 g.

Ce n'est pas une bombe calorique, mais à condition de ne pas ajouter la farine, le lait et les matières grasses à la chapelure "à l'œil", mais en fonction des valeurs indiquées dans la recette. La version au céleri-rave contient beaucoup plus de fibres et moins de graisses, donc si vous surveillez les kilocalories malgré les fêtes, il est préférable de choisir la version au céleri-rave. Les deux versions contiennent une bonne part d'acides gras oméga 3 et 6, et la version au tofu contient bien sûr plus de protéines et de fer.

Hareng en version végétarienne

Recette pour environ 4 à 6 personnes

Ingrédients :

Les "harengs" eux-mêmes

• 400 g de pleurotes
• 1 litre d'eau
• 3 feuilles d'algues nori ou 2 poignées d'algues Wakami séchées
• 10 grains de piment de la Jamaïque
• 10 grains de poivre noir
• 4 feuilles de laurier
• 2 cuillères à soupe de sauce soja
• oignon
• 1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre de pomme ou de vinaigre de vin
• sel
• 1-2 cuillères à soupe d'huile d'olive

Marinade :

• Une tasse de crème végétale (blanchir une tasse de noix de cajou + eau + jus de citron + sel) ou du yaourt grec ou de la crème 12%.
• une cuillère de moutarde - par exemple de la moutarde au miel
• pomme (environ 140 g)
• 1-2 cuillères à soupe de canneberges séchées

Préparation :

1. nettoyez les champignons, coupez les pattes les plus dures et coupez les chapeaux en morceaux ressemblant à des harengs. Couper les algues en morceaux de la même taille que le hareng.

2. Verser l'eau, la sauce soja, ajouter 2 cuillères à café de sel et les algues dans une marmite. Faire cuire à feu doux pendant une demi-heure. Retirer les algues, sans les jeter, et ajouter les pleurotes au bouillon bouillant. Laissez cuire pendant 1 à 2 minutes, retirez du feu et laissez cuire à couvert pendant encore 15 minutes. Égoutter ensuite les pleurotes et les laisser refroidir.
3. Couper l'oignon en dés, le mettre dans un bol, ajouter le vinaigre et une pincée de sel et laisser reposer pendant une demi-heure. Ajoutez ensuite le poivre, le piment de la Jamaïque, les feuilles de laurier, l'huile d'olive, 1/4 des algues (vous n'aurez pas besoin du reste) et les pleurotes. Mélanger le tout et réserver de préférence une journée.
4. Éplucher les pommes, les couper en quatre, les évider et les couper en dés. Mélanger la crème avec la moutarde, les pommes et les canneberges. Enfin, mélanger avec les "harengs". Vous pouvez également disposer les pommes dans la crème sur un plat de service, avec les harengs et les oignons à côté.

Ce plat est une mine de vitamines B, d'acide folique, de zinc et de sélénium, grâce aux pleurotes.

Achetez en toute connaissance de cause

Si vous mangez de la carpe à Noël (sic !), que vous l'aimez et que vous l'appréciez, ne la retirez pas de votre assiette.

Achetez-la en toute connaissance de cause, sans participer au drame annuel de la veille de Noël. Les carpes vivantes serrées les unes contre les autres dans d'énormes réservoirs au magasin sont un spectacle horrible, et les ramener vivantes à la maison dans des filets relève de la bestialité. Préférez les flancs surgelés ou les filets frais aux poissons vivants.

Le chef de l'inspection vétérinaire indique des règles spécifiques pour la manipulation des carpes vivantes. L'eau du bassin doit être propre et ⅓ de son volume doit être changé toutes les 12 heures. Il doit y avoir 1 litre d'eau pour 1 kilogramme de poisson. Les poissons ne doivent pas être blessés.

Et oui, vous pouvez réagir lorsque vous voyez ce drame de la carpe dans un magasin ou sur un marché. Vous trouverez des conseils sur la manière de le faire efficacement sur le site web du WWF Pologne, par exemple.

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